2 patients en NBA

2 patients en NBA

C’est avec grand plaisir que je viens d’apprendre que 2 patients ont signé un contrat dans des équipes NBA:

  • Yannis Morin avec les OKLAHOMA CITY THUNDER
  • Yakuba Ouattara avec les NEW YORK NETS

2 sportifs très professionnels qui ont toujours été très respectueux de l’équipe soignante.

Je vous souhaite une bonne continuation de carrière aux états unis.

20246222_10155557899029464_9168197679620063480_n056903_large

national_basketball_association_nba_logo_2414

Capture d’écran 2017-07-24 à 10.17.56 Capture d’écran 2017-07-24 à 10.17.45

podologue NBA

Conférence au congrès national de la SOFPOD – Podologie du sport

Ce samedi 18 mars, j’ai eu le plaisir de participer au congrés de la SOFPOD ou j’ai donné une conférence qui avait pour thème:

BIOMECANIQUE DES PATHOLOGIES DU GENOU DANS LE SPORT ET PRISE EN CHARGE PODOLOGIQUE

Un bon moment avec de nombreux professionnels et acteurs de la santé, les échanges ont été très intéressants.

congrès de la sofpod

congrès de la sofpod

CONGRES NATIONAL DE LA SOFPOD – 18 MARS 2016 LE GENOU – LE PROGRAMME : 

ANATOMIE ET BIOMECANIQUE DU GENOU : Antoine Perrier – Pédicure-podologue, Docteur en Biomécanique

EXAMEN CLINIQUE DU GENOU : Philippe Dupont – Médecin du sport

IMPLICATION DE LA CINEMATIQUE DU GENOU DANS LA PATHOLOGIE DE RETRACTION DES MUSCLES GASTROCNEMIENS :  Cyrille Cazeau – Chirurgien Orthopédique

PATHOLOGIES INFLAMMATOIRES DU GENOU HORS ARTHROSE : Joël Damiano – Rhumatologue

LE GENOU DE L’ENFANT : SPECIFICITES / PATHOLOGIES : Philippe Souchet – Chirurgien orthopédique pédiatrique

ARTHROSE DU GENOU ET TRAITEMENT PAR PROTHESE : François Boillot – Chirurgien orthopédique

TRAITEMENTS CHIRURGICAUX (HORS PROTHESES) : Romain Rousseau – Chirurgien orthopédique

BIOMECANIQUE DES PATHOLOGIES DU GENOU DANS LE SPORT ET PRISE EN CHARGE PODOLOGIQUE Nicolas Meigneux

PRISE EN CHARGE PODOLOGIQUE DU GENOU

LE POINT DE VUE DU POSTUROLOGUE : Jean-Philippe Viseu – Pédicure-Podologue

 

TRAITEMENTS KINESITHERAPIQUES (PHYSIO ET CONTENTIONS) : Fabrice Boucherat – Kinésithérapeute

EVALUATION DE L’EFFICACITE D’UNE ORTHESE PLANTAIRE DANS LES SUITES IMMEDIATES DE LA CHIRURGIE PERCUTANEE DE L’AVANT-PIED : Alexandra Rousseau – Pédicure-Podologue Pierre Schlienger – Pédicure-Podologue

Affiche_Congres-2017 faculté médecine paris congrès sofpod podologue

 

Le golf: un sport qui vous veut du bien

Oui, la pratique du golf a un effet bénéfique sur votre état de santé, et ce, à plusieurs titres. Olivier Rouillon, Médecin Fédéral national, les détaille ici pour vous.

« La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. » C’est ainsi que l’OMS (l’Organisation Mondiale de la santé) résume sa définition de ce que doit être la « Santé » pour l’être humain. En échos, le golf peut se prévaloir d’œuvrer pour la Santé de la population dans son ensemble.

Les scientifiques ne cessent de le démontrer, études à l’appui. Avec 30 millions de golfeurs aux Etats Unis, le golf est un extraordinaire terreau de recherches, qui s’inscrivent en plus dans un marché financier colossal, impliquant des moyens considérables pour avancer dans les recherches.

La première constatation est que le golf peut augmenter votre espérance de vie de cinq ans, quelque soit votre niveau socio-économique, et même votre hygiène de vie. Une constatation obtenue par des chercheurs suédois qui ont comparé 300 000 golfeurs, à l’ensemble de la population suédoise, en gardant les mêmes proportions de catégories : hommes femmes, sujets jeunes, âgés, sédentaires, etc.

La prévention par la socialisation

Les raisons ? L’activité sportive ! Bien évidemment. D’autres sports, tels que le vélo, par exemple, peuvent prétendre à des résultats positifs sur la population qui les pratiquent, mais l’impact du golf est augmenté par le fait que les golfeurs jouent avec des gens qui leur ressemblent et ainsi, apporte aux individus ce que les scientifiques ont appelé : « La prévention par la socialisation ».

Si la personne qui joue au golf avec des amis de son âge, s’aperçoit qu’elle est de plus en plus en difficulté face à l’effort physique à produire, par rapport à ses congénères ainsi qu’à ses anciennes performances, elle va être alertée.

Et même si elle peut mettre un certain temps à prendre rendez-vous avec son médecin, elle va finir par le faire. Subir des tests, examens médicaux, et trouver rapidement des explications à sa baisse de régime. Une manière de prévention dont les personnes totalement sédentaires ne peuvent profiter.

Cela permet de rebondir sur un autre aspect favorable du golf, souligné par une étude cette fois américaine, concernant les personnes sur le point de franchir le cap de la retraite. Au moment du choix de l’activité sportive à pratiquer, pour théoriquement, se maintenir en forme ET occuper son temps libre, le critère de choix n°1 est : la socialisation ! En d’autres termes : « J’ai envie de fréquenter des gens qui me ressemblent. »

Des challenges à sa mesure

C’est l’occasion de se « challenger » avec ses partenaires. Or, le challenge, s’il est amusant, motivant, permet de garder en tête une volonté de cultiver les ingrédients d’une forme optimale, en tout cas, constante, dans la mesure du possible.
Il y a des facteurs plus médicaux qui influent sur l’état de santé des gens qui pratiquent le golf. Citons en premier lieu, le plan cardio-vasculaire, dont la manifestation la plus courante est l’infarctus.

Prévention des maladies cardio-vasculaires

Pourquoi la pratique du golf diminue-t-elle le risque d’infarctus ? Parce que la marche et l’exercice joue – à la baisse, bien sûr – sur le cholestérol. Elle fait également baisser votre tour de taille, votre masse graisseuse.

Et l’on PEUT jouer au golf, même quand on a eu un antécédent d’infarctus ! Evidemment, j’insiste sur le fait de prendre au préalable L’AVIS DE SON CARDIOLOGUE ; et toutes les précautions nécessaires, telles que préférer les parcours plats aux parcours vallonnés.

L’aspect neurologique

La pratique du golf a également un impact positif dans le domaine du vieillissement neurologique, dans le sens où cela peut le ralentir de façon conséquente.

On sait que le fait d’avoir une activité où l’on va devoir se concentrer, visualiser quelque chose, prendre des informations extérieures toujours différentes et variées : le vent, les distances, les pentes, etc. font que l’on conserve davantage ses fonctions cognitives.

Il est prouvé que le golf, après plusieurs années de pratique, confère à certaines aires du cerveau des individus soumis à des tests, une réactivité plus importante que chez des individus ne pratiquant pas le golf. L’aspect neurologique étant l’un des enjeux les plus importants du domaine de la santé publique, il est heureux de constater que le golf participe des moyens de l’améliorer.

L’appareil locomoteur est également impacté par la pratique du golf. Les os, les ligaments, les tendons… Le vieillissement dans ce domaine relève tout simplement de l’usure. Cela touche très souvent le cartilage, ce qui implique que, tous autant que nous sommes, nous serons un jour ou l’autre touché par l’arthrose. Tout comme les tendons vieillissent mal, en général. Mais, loin d’accélérer le processus de vieillissement, la pratique d’un sport adapté, avec un certains nombre de comportement liés au simple bon sens (échauffement, récupération, etc.) le ralentit ! Quand vous avez de l’arthrose, ce n’est pas le moment de vous affaler dans un fauteuil, mais au contraire, d’aller marcher, de faire de l’exercice. Et dans ce cadre-là, le golf a beaucoup plus à offrir qu’un simple tour de pâté de maisons ! Pour toutes les raisons que nous venons de voir, et tant d’autres.

Jouer au golf permet de garder une certaine souplesse. Elle oblige celui ou celle qui le pratique à se mobiliser, pour essayer de conserver au moins de la force dans les membres inférieurs pour être stable ; au moins de la force dans la préhension, du fait d’avoir à tenir le club ; au moins de la force dans les abdominaux et les muscles du dos pour « tenir » une position qui vous permette de tourner sans trop solliciter les articulations ; également tâcher de générer de la vitesse…Et bien sûr, avoir conscience de ce à quoi correspond pour vous, la « proprioception », à savoir : la perception, consciente ou non, de la position des différentes parties de votre corps (et de votre club, notamment au back-swing) dans l’espace.
Et je conclurai cette première chronique par le résultat d’une étude qui indique que le golf est plus à même d’amener à développer ce sixième « sens » – cette conscience de la position et de l’équilibre de son propre corps dans l’espace – que la pratique du Thaï Chi ! Intéressant, non ?

Dr Olivier Rouillon
Chronique du Dr Olivier Rouillon : le golf, un sport qui vous veut du bien !
lien orginal de l’article : ICI
lien du site de la fédération française de golf : http://www.ffgolf.org

L’amortissement sur la chaussure de running

Le Saint Graal pour bien des coureurs et le nerf de la guerre actuel des marques.

C’est un peu à celle qui aura le plus performant !

Mais à quoi sert-il au juste ? En position statique lorsque l’on essaie une chaussure il est là pour rassurer notre subconscient : « j’ai entendu  quelque part que c’était bien pour éviter les problème de dos, de genoux, de machin ». Du coup, on teste la chaussure en général et on pense que l’amorti apporte du confort, mais le confort ne doit être dépendant que de ce que ressent votre pied et qui est « mesurable », c’est-à-dire pour lui de pouvoir être « libre » de ses mouvements afin d’assurer son rôle moteur majeur dans la course.

L’AMORTI, LUBIE OU IMPORTANCE?

Et si pour commencer on parlait un peu de proprioception, ça vous parle ?

C’EST QUOI LA PROPRIOCEPTION ?

Parlons un peu de notre anatomie du pied : 26 os, 16 articulations, 107 ligaments et 20 muscles. Ah oui quand même ! Tout ça dans si peu d’espace, c’est dire l’importance majeure de nos pieds dans notre corps.


Sans entrer dans tous les détails sur la proprioception, cette notion désigne le fait de pouvoir percevoir, de manière consciente ou non, la position des différentes parties de notre corps et comment elles réagissent avec le monde extérieur.

En somme, cela vous permet de mieux appréhender votre environnement et de faire le nécessaire, de manière consciente ou non, afin d’interagir avec lui et de la meilleure des manières pour ne pas traumatiser votre organisme.

Un exemple pour illustrer cela : L’entorse de cheville.

Généralement ces entorses sont dûes à un défaut de proprioception. Le pied tourne, mais les capteurs ne font pas leur boulot, pas de contractions réflexes des fibulaires pour ramener la cheville et c’est donc le ligament qui « déguste » et provoque alors l’entorse.

QUAND TROP DE PROTECTION JOUE UN RÔLE INHIBITEUR

Maintenant que nous savons ce qu’est la proprioception et son rôle, imaginez-vous dans la situation suivante :

Vous portez des gants bien épais toute la journée, pas les petits gants fin avec lesquels il est facile de « percevoir » au travers, de vrai bon GROS gants bien épais et avec lesquels vous ne pouvez rien sentir de ce que vous touchez.

Pensez-vous qu’il vous serait facile de réaliser vos tâches quotidiennes aussi facilement qu’auparavant ? Pensez-vous que les muscles qui composent votre main et qui vous permettent d’attraper, de tenir, de serrer vont continuer de se développer afin de jouer leur rôle de tous les jours ?

Vous voyez un peu la problématique transposée aux pieds ?

AMORTI : QUE NOUS DISENT LES SCIENTIFIQUES !

Alors jetez un petit coup d’œil à ceux que les études scientifiques nous disent sur le sujet de l’amorti.

On a souvent entendu ce genre de phrase :

Il faut un amorti plus performant pour des plus longues distances.

Voici une première étude sur le sujet :

Is your prescription of distance running shoes evidence-based? C E Richards1,2, P J Magin1,R Callister2

Traduction : Est-ce que la recommandation de vos chaussures de course en fonction de la distance est scientifiquement fondée ?

Dans cette étude les chercheurs ont recoupé de très nombreux articles sur le sujet. Voici ce qui en ressort :

La vitesse de force d’impact au sol va engendrer une augmentation des risques de blessures, cependant la capacité de l’amorti d’une chaussure à réduire cette force d’impact ou les blessures est largement remise en doute.

La diminution de la proprioception a été clairement mise en évidence pour les chaussures à fort amorti, et de ce fait notre capacité à amortir un choc d’impact à la course dans des chaussures trop amorties l’est aussi.

Les experts en sont venus à une conclusion unanime : il n’y a aucune évidence scientifique prônant un amorti plus ou moins conséquent en fonction des distances parcourues et afin de prévenir les blessures.

Notre opinion: Un amorti, et dans amorti comprenons également l’épaisseur de semelle, s’il n’est pas trop prononcé, pourra être bénéfique pour ne pas venir trop heurter le pied. Celui qui a finalement le plus besoin de protection c’est lui. Cependant notre pied a aussi besoin de se « remuscler » car il a été habitué à trop de protection et va « devenir flemmard » .

Du coup, un peu d’amorti ne peut pas être négatif, mais trop d’amorti le sera probablement bien plus. Tout cela bien entendu en tenant compte des caractéristiques physiques et médicales du coureur. Une chaussure peu amortie ne pourra pas convenir à toutes les typologies de coureurs, mais ce travail-là c’est nous qui le réaliserons pour vous 😉

2.L’amorti de la chaussure « x » c’est le meilleur.


Encore une étude pour en parler avec pour objectif de montrer quel est l’impact de la dégradation de la chaussure, et donc de l’amorti, sur la foulée.

Running in new and worn shoes: a comparison of three types of cushioning footwear.P W Kong, N G Candelaria, D R Smith

Pour cela, la comparaison de la cinétique et de la cinématique a été réalisé avec des chaussures neuves vs des chaussures usagées. Trois modèles et marques et donc technologies différentes d’amortis ont été utilisés.

Conclusion : A la dégradation de l’amorti, les coureurs modifient leurs habitudes de course afin de maintenir constantes les charges exercés sur leur corps. En somme : Les stratégies d’adaptation à la dégradation de l’amorti de la chaussure ne sont pas affectées par les différents types d’amortis, suggérant que les coureurs devraient choisir leurs chaussures sur d’autres critères que les technologies d’amortis.

Notre opinion : Sujet très marketing sur lequel nous reviendrons dans un futur article. Recommander le changement de chaussure en se basant sur un kilométrage ne parait pas tout à fait fondé. Dans la mesure où le plus important reste notre comportement face à notre impact au contact du sol, un certain tassement de l’amorti nous oblige donc à minimiser cet impact et donc à réduire notre risque de blessures. Bien entendu, dès lors qu’une trop grande usure apparait et que la cinématique de foulée devient traumatisante, alors il convient de changer de chaussures. L’idéal pour ne pas se trouver dépourvu et faire de mauvais choix dans l’urgence ou le stress reste de prévoir une paire de chaussure de « secours » en amont de l’usure totale de l’ancienne paire et cela afin de ne pas connaitre de période de latence entre deux paires.

3. Plus tu es lourd plus il va te falloir un gros amorti.

Nous n’avons pas trouvé les études scientifiques prônant, ou non, le fait que les coureurs lourds ne devraient pas faire de la course à pied . Idem sur le fait qu’un coureur avec un indice de masse corporel élevé doit se chausser de chaussures très amorties, comme cela est souvent recommandé dans les magasins (mais nous sommes preneurs et demandeurs).

Ce que nous savons des risques de blessures liés à la course à pied vient notamment de la vitesse de force d’impact que va imposer un coureur lorsqu’il « atterrit » au sol.

Dans le cas où le coureur est en surpoids, il serait sûrement préférable, si toutefois l’on considère qu’il ne dispose pas d’une pathologie spécifique au pied, mollet ou tendon d’Achille, de faire courir cet utilisateur en chaussures pas trop amorties. Pourquoi cela ? Et bien parce que les modérations de force et vitesse d’impact sont, très généralement, diminuées lorsque l’on ressent davantage le sol. La réaction, naturelle, du corps sera de se protéger au maximum. Comme mentionné dans la vidéo ci-dessous, essayez de courir pieds nus sur des petits cailloux, vous allez chercher à avancer de manière très légère en effleurant le sol pour ne pas vous faire mal aux pieds. Mais en plus des pieds, ce sont toutes vos articulations que vous protégez.

Image de prévisualisation YouTube
Un « gros amorti » va venir vous faire sentir en confiance et ne pas ressentir les chocs que vous imposez à vos corps. De telle manière, l’acceptation à la douleur va être prolongée jusqu’à arriver au point ou la blessure risque de vous guetter puis de survenir.

Notre opinion : L’amorti joue un rôle surprotecteur du pied. Nous avons appris, à nos dépend malheureusement et via nos expériences personnelles, que l’amorti ne protégeait pas forcément vos genoux, hanches et dos. Un coureur dit « lourd » va avoir besoin de se protéger au maximum, tout comme un autre coureur d’ailleurs, c’est en ce sens qu’un vrai compromis entre peu et trop d’amorti doit être trouvé. En complément, nous ajouterons qu’il est également préférable de pratiquer un sport « porté » tel que le vélo ou la natation en complément du running. Les charges sont moindres. Cependant, des études ont montré qu’un peu de stress appliqué de manière régulière et modérée, impliquait du renforcement squelettique, c’est pourquoi la course à pied n’est pas à proscrire pour un coureur lourd.

FINALEMENT AMORTI OU PAS AMORTI ?

Et bien comme souvent la réponse est plus complexe et ne peut pas être tout ou rien !

Chaque coureur possède un passé propre en tant que coureur, mais également en termes de chaussage de tous les jours. Dire que zéro amorti conviendrait à tout le monde à l’instant « T » serait une erreur. A l’inverse, recommander du gros amorti pourrait être acceptable oour certains et pour d’autre pas du tout.

Un juste milieu doit être trouvé dans la plupart des cas. Selon les profils, l’ancienneté de course, les habitudes de chaussage, bref selon de nombreux facteurs, un amorti plus ou moins important sera conseillé. Le facteur de l’amorti ne peut pas être dissocié d’autres éléments comme par exemple la rigidité, le drop, les contrôles de foulées et de stabilisation. Vous l’aurez compris, tout n’est pas blanc ou noir, et c’est pour celà que nous sommes là pour vous conseiller efficacement et de manière efficace et totalement

Alors toujours aussi convaincu qu’une bonne chaussure , c’est de l’amorti en puissance?

lien original de l’article ICI

Commission médicale à la fédération française de golf

Ce Week end avait lieu la commission médicale annuelle à la fédération française de golf au siège de la FFGolf à Paris (Levallois Perret).

Organisé par Olivier Rouillon, médecin de la fédération, ce fut l’occasion d’être informé et de pouvoir discuter des objectifs annuels pour la santé des golfeurs.

J’étais ravi d’y être invité et de pouvoir participer au débat.

Pour les golfeurs souhaitant avoir des renseignements vous pouvez me contacter ICI